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Dans "Amour Sauvage", Lasveguix fusionne l’instinct brut de la nature avec l’énergie urbaine du street art contemporain. Cette œuvre foisonnante juxtapose l’image majestueuse et hyperréaliste d’un lion, symbole de force et de fierté, à un collage chaotique de publicités, de graffitis et d’affiches vintage lacérées, témoins d’une mémoire collective urbaine. Le mot "OUI", peint en rose vif au centre de la toile, tranche avec la sauvagerie du félin et évoque un élan d’acceptation, d’espoir ou de passion brute. On y devine aussi une femme illustrée, façon pop art, qui semble regarder le spectateur avec intensité — un rappel à la fois nostalgique et puissant de la figure féminine dans l'imaginaire populaire. Lasveguix explore ici la dualité entre l’amour et l’instinct, le civilisé et le sauvage, le passé et le présent. Les couches de peinture éclaboussées, les typographies superposées et les éléments déchirés donnent à l'œuvre un rythme presque musical, entre tension et harmonie. "Amour Sauvage" est une déclaration visuelle où la tendresse côtoie la puissance, et où l’art de rue devient le langage d’émotions primaires, exprimées avec une intensité saisissante.

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Magnifique collage pour cette œuvre réalisée à l'aide de matériaux de récupération (affiches déchirées). Lasveguix met ici en avant Élisabeth II "The Queen", qui fut reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et des autres royaumes du Commonwealth et qui est devenue une icone Pop art du Royaume-Uni

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Magnifique œuvre réalisée à l'aide de matériaux de récupération (affiches déchirées, cartons), le tout rehaussé à l'aide de peinture aérosol, posca, bic et autocollants. Ici l'artiste Lasveguix donne une autre dimension à Goldorak, gigantesque machine de guerre extraterrestre en deux parties, très lourdement armée, que l'on a pu retrouver sous la forme d'un dessin animé à la fin des années 70.

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Réalisée par l'artiste français Lasveguix, Guga est une œuvre explosive et expressive qui célèbre la légende du tennis brésilien Gustavo Kuerten. Imprimée en haute qualité sur Dibond, un support rigide en aluminium très prisé pour les œuvres contemporaines, cette pièce mêle techniques numériques, esthétique pop art et collage visuel. Au centre, le visage de Guga en profil bleu se détache sur un fond vibrant, saturé de références visuelles à son parcours : Roland-Garros, le Brésil, Florianópolis, Lacoste, et les grands moments de joie qui ont marqué sa carrière. Chaque détail raconte une facette du champion, entre puissance sportive et rayonnement culturel. Tirée à seulement 8 exemplaires, chacun signé à la main par Gustavo Kuerten lui-même, cette œuvre rare a déjà suscité l’engouement des collectionneurs.  L'œuvre est montée sur un cadre alu noir. C'est une sérigraphie de l'original vendue le 24 juin lors du gala CŒUR CENTRAL à Roland Garros au prix de 33 000e.

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Plongez dans l'univers fascinant de Lasveguix avec cette création de street art réalisée grâce à des techniques de collage mixte. Inspirée par l’affiche emblématique du film "Interstellar" de Christopher Nolan, cette œuvre met en scène un astronaute solitaire en noir et blanc, semblant émerger des profondeurs d’un monde déchiré et superposé. Autour de cette image centrale, des fragments de posters colorés, des typographies urbaines et des graffitis aux tons vifs — rouge, bleu, vert et noir — créent un effet de contraste saisissant. Les couches déchirées, juxtaposées avec soin, évoquent une atmosphère à la fois cinématographique et brute, fidèle à l’essence du street art. Les tags et textures ajoutent une dimension authentique et dynamique, tandis que l’ensemble de l’œuvre joue avec l’idée de temps et d’espace, à l’image du film qui l’inspire. Parfait pour les amateurs de science-fiction, de cinéma culte et d’art urbain, ce collage unique apportera une touche moderne et audacieuse à votre intérieur, en célébrant à la fois la culture pop et l’expression artistique contemporaine.

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Magnifique toile sur chassis réalisée par Lasveguix à l'aide d'affiche de récupération, de bombe aérosol, de peinture acrylique et de posca. Les affiches lacérées donnent du relief et de la matière à l'oeuvre et donnent l'impression de posséder un bout de mur. Lasveguix nous propose ici une réinterprétation du diptyque Marilyn, sérigraphie de l'artiste américain Andy Warhol, et rend également hommage au travail de l'artiste Invader !

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Cette œuvre de Lasveguix s'inscrit pleinement dans l’univers du street art en rendant hommage à l’iconographie d’Invader. Les deux figures en pixel art, inspirées du célèbre jeu vidéo Space Invaders, émergent au centre de la composition, partiellement recouvertes par des strates de papier déchiré, de graffitis et de peinture.  L’accumulation de ces couches donne l’impression d’un mur urbain vivant, témoin du passage du temps et de l'interaction entre l’artiste et la ville. Des inscriptions comme "INVADER WAS HERE" renforcent cette référence directe au street artiste français connu pour disséminer ses mosaïques dans le monde entier. La palette de couleurs pastel, mêlant bleu, rose et beige, contraste avec l’aspect brut des déchirures et des éclaboussures de peinture, créant un équilibre entre chaos et harmonie. À travers cette œuvre, Lasveguix capture l’essence d’un art urbain en perpétuelle mutation, où chaque trace laissée par un artiste devient une nouvelle couche d’histoire.

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Dans cette œuvre percutante, Lasveguix rend hommage à Jean-Michel Basquiat, figure emblématique de l’art urbain et de la culture afro-américaine. Le visage en noir et blanc de Basquiat, vêtu d’un costume-cravate sobre, contraste avec l’explosion chaotique de papiers déchirés, de couches d’affiches arrachées, de couleurs et de graffitis qui l’entourent. Le portrait classique se voit littéralement envahi par une matière urbaine vivante, marquant la tension entre l’icône figée et l'énergie brute de la rue. L’approche de Lasveguix consiste à déconstruire l’image pour mieux la recontextualiser, dans un langage plastique fait de couches superposées, de textures et de typographies à moitié effacées. On y distingue des fragments de mots ("err", "live", "you"), des éclats de peinture rose, jaune et noire, ainsi que des éclaboussures qui rappellent le geste spontané du street art. Le résultat est un portrait à la fois révérencieux et organique, dans lequel l’identité de Basquiat émerge à travers le tumulte visuel comme une présence persistante, insoumise et mythique.

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Magnifique œuvre réalisée à l'aide de matériaux de récupération (affiches déchirées, cartons), le tout rehaussé à l'aide de peinture aérosol, posca, bic et autocollants. Ici l'artiste Lasveguix réalise une magnifique, très détaillée, qui représente un pan de mur de Londres en reprenant beaucoup de références de la ville et qui s'intégrera très bien dans votre domicile.

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Cette œuvre de Lasveguix s’inscrit dans une esthétique urbaine brute, entre collage, détournement et graffiti. Le fond est constitué de couches successives d’affiches arrachées, de fragments typographiques et d’images publicitaires qui rappellent les murs saturés de la ville, porteurs de mémoires visuelles superposées. Au centre, un visuel en noir et blanc reprend l’iconographie du célèbre jeu vidéo Space Invaders, accompagné du mot « LOST », renforçant l’idée de disparition ou d’errance dans le chaos visuel urbain. Par-dessus, un graffiti en lettres noires épaisses et spontanées annonce « INVADER WAS HERE », clin d’œil direct à l’artiste de rue Invader et à sa pratique du marquage de territoire par ses mosaïques. Un halo bleu en arrière-plan souligne l’inscription, comme pour lui donner une aura particulière, tandis que les couleurs déchirées et les textures des affiches participent à l’effet de palimpseste. L’œuvre interroge la trace, la mémoire et l’éphémérité dans l’espace public : ce qui est collé, recouvert, griffé, puis à nouveau réapproprié. Elle met en tension la culture populaire (jeu vidéo, street art) et la décomposition poétique des murs de la ville.

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