Lasveguix

Sur ce panneau de signalisation authentique, Lasveguix présente une nouvelle variation autour de l’esthétique urbaine qui fait sa signature. Au centre, une figure féminine inspirée de l’iconographie d’Obey apparaît à travers un collage dense de fragments d’affiches, de typographies éclatées et de couleurs vives. Le bleu profond du portrait contraste avec les strates de papier déchiré qui l’entourent, évoquant le caractère éphémère et vivant des murs de la ville. La texture réfléchissante du panneau, encore visible sous le collage, apporte un jeu de lumière subtil et renforce le contraste entre la rigidité du mobilier urbain et la liberté expressive du street art. Les bordures rouges du panneau encadrent la composition comme un rappel de son origine fonctionnelle, désormais détournée en support artistique. Les couches superposées de papier, parfois usées, parfois éclatantes, donnent à l’ensemble une profondeur presque sculpturale. On y perçoit l’accumulation du temps, les traces de passages, les récits visuels qui se chevauchent pour former un fragment de ville figé dans l’instant. Avec cette œuvre, Lasveguix brouille les frontières entre symbole, matière brute et esthétique urbaine. Il transforme un objet utilitaire en un support chargé de poésie visuelle, où l’icône renaît au cœur du chaos urbain, entre mémoire collective et réinvention artistique.

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Sur ce véritable panneau de signalisation détourné, Lasveguix déploie l’une de ses signatures artistiques : un collage vibrant, saturé de fragments d’affiches, de typographies éclatées et de textures urbaines qui semblent arrachées aux murs de la ville. Au cœur de cette composition surgit la figure de Marianne, inspirée de l’esthétique d’Obey, symbole de liberté et d’engagement citoyen. La silhouette de Marianne apparaît comme une révélation au milieu d’un chaos visuel maîtrisé. Les couches déchirées, les couleurs vives et les superpositions de papier créent un effet de profondeur qui évoque l’érosion naturelle des murs urbains, où les affiches se succèdent, se recouvrent et finissent par raconter une histoire collective. Le fond réfléchissant du panneau, partiellement visible sous les interventions artistiques, introduit un contraste fort entre la rigidité du code routier et l’énergie libre du street art. Les éclaboussures de peinture rose, les graffitis et la signature de l’artiste renforcent l’impression d’un objet arraché à l’espace public puis transformé en œuvre unique. Avec cette pièce, Lasveguix joue sur les frontières : celles entre symbole républicain et culture pop, entre espace réglementé et expression personnelle, entre effacement et révélation. L’œuvre devient un fragment de ville, figé dans le temps, où Marianne renaît au cœur du chaos urbain.

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Dans cette œuvre singulière, Lasveguix détourne un véritable panneau de signalisation pour en faire un support artistique chargé de sens et de contrastes. Au cœur du panneau, un collage fragmenté laisse apparaître une image iconique de Charlot, le personnage légendaire incarné par Charlie Chaplin, assis avec un petit chien. Cette figure emblématique du cinéma muet surgit à travers des strates d’affiches déchirées, de typographies partiellement lisibles et de motifs urbains qui se chevauchent. Le fond réfléchissant du panneau, encore visible par endroits, crée un dialogue saisissant entre l’univers réglementé de la signalisation routière et l’énergie brute du street art. Les bords noircis, les griffures, ainsi que les tags ajoutés par l'artiste renforcent l’impression d’un objet arraché à la rue pour être réinventé. La superposition de textures — papier arraché, traces de colle, usure naturelle et interventions picturales — confère à l’ensemble une dimension quasi archéologique. Comme un fragment du paysage urbain figé dans le temps, le panneau raconte l’histoire de la rue tout en rendant hommage à Chaplin, symbole intemporel d’humanité, de poésie et de mélancolie. En utilisant un support aussi codifié et chargé de fonction que le panneau de signalisation, Lasveguix brouille les frontières entre art, mobilier urbain et détournement poétique. L’œuvre devient alors un objet hybride, à la fois familier et subversif, où tradition iconique et chaos urbain se rencontrent pour former une pièce à l’esthétique puissante et mémorielle.

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Cette œuvre de Lasveguix revisite avec audace l’iconique Vache qui Rit, figure familière de la culture populaire française, en l’inscrivant dans un univers urbain vibrant. Au centre de la composition, la célèbre vache rouge souriante apparaît en grand format, entourée d’affiches lacérées, de textures brutes, de fragments typographiques et de tags qui composent un mur vivant, typique du style street art de l’artiste. Le slogan « Vachement Bon » surgit dans la partie supérieure, tandis que le bas du visuel laisse apparaître, partiellement dissimulée sous les déchirures d’affiches, l'inscription « La Vache qui Rit ». Ce jeu de superpositions crée une tension visuelle entre le message publicitaire d’origine et son réinterprétation contemporaine. En mêlant nostalgie d’une icône publicitaire, énergie des rues et chaos poétique du collage, Lasveguix détourne un symbole du quotidien pour le transformer en objet d’art. L’œuvre joue sur les contrastes : entre propreté graphique et usure urbaine, entre image lisse et textures éclatées, entre mémoire collective et réappropriation artistique. Par cette composition dynamique et expressive, Lasveguix inscrit La Vache qui Rit au cœur de son univers : un espace où la pop culture, la rue et la création se rencontrent et se réinventent.

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Marianne Obey Urban Wall est une œuvre urbaine vibrante signée Lasveguix, mêlant collage, superposition d’affiches déchirées et iconographie emblématique. Au centre de la composition apparaît la figure de Marianne, inspirée du style graphique d'Obey, entourée de motifs floraux et positionnée sur un fond tricolore bleu-blanc-rouge. L’inscription républicaine “Liberté, Égalité, Fraternité” traverse verticalement l’œuvre, renforçant la portée symbolique de la pièce. Autour de cette figure centrale, Lasveguix construit un mur vivant, fait d’affiches arrachées, de tags, d’éclats de couleurs et de textures irrégulières. Les couches successives révèlent un dialogue entre ordre et chaos, entre message officiel et expression populaire. Les fragments de typographies, les traces de peinture et les symboles graphiques confèrent à l’ensemble une esthétique brute, énergique et résolument street art. En fusionnant une icône de l’identité française avec l’esthétique urbaine contemporaine, l’artiste crée une œuvre qui interroge l’espace public, la citoyenneté et la puissance visuelle des symboles. Marianne Obey Urban Wall affirme ainsi une identité forte : celle d’un mur qui parle, qui vit, et qui porte à la fois mémoire et modernité.

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Dans cette œuvre percutante, Lasveguix rend hommage à Jean-Michel Basquiat, figure emblématique de l’art urbain et de la culture afro-américaine. Le visage en noir et blanc de Basquiat, vêtu d’un costume-cravate sobre, contraste avec l’explosion chaotique de papiers déchirés, de couches d’affiches arrachées, de couleurs et de graffitis qui l’entourent. Le portrait classique se voit littéralement envahi par une matière urbaine vivante, marquant la tension entre l’icône figée et l'énergie brute de la rue. L’approche de Lasveguix consiste à déconstruire l’image pour mieux la recontextualiser, dans un langage plastique fait de couches superposées, de textures et de typographies à moitié effacées. On y distingue des fragments de mots ("err", "live", "you"), des éclats de peinture rose, jaune et noire, ainsi que des éclaboussures qui rappellent le geste spontané du street art. Le résultat est un portrait à la fois révérencieux et organique, dans lequel l’identité de Basquiat émerge à travers le tumulte visuel comme une présence persistante, insoumise et mythique.

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Cette pièce de Lasveguix présente une réinterprétation urbaine et contemporaine d'une icône mondiale : Mickey Mouse. Sur un fond bleu éclatant, le célèbre personnage de Disney est représenté de manière classique avec son short rouge et son large sourire, mais il est en partie recouvert par un collage chaotique de papiers déchirés, d’affiches lacérées et de couches de peinture.La juxtaposition entre la netteté du dessin animé et l'aspect brut et fragmenté du collage évoque une tension entre nostalgie, culture populaire et effacement du temps. Les éclats de couleurs vives (rouge, bleu, noir, jaune) associés aux matières déchirées apportent un dynamisme qui semble faire éclater l'image de Mickey hors de son cadre original.En bas à droite, la signature "Lasveguix" ancre l'œuvre dans l’univers du street art et du pop art, fidèle au style de l'artiste qui aime mêler références populaires et esthétiques de rue.

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Cette œuvre de Lasveguix présente une esthétique urbaine et texturée, inspirée du street art et du collage. Elle juxtapose des éléments graphiques emblématiques, notamment un visuel en pixel art rappelant les créations de Space Invader, avec les mots "LOST" et "LOVE". Le mot "LOVE" est partiellement tagué en jaune, transformant le message et créant une tension entre perte et espoir. Les différentes couches d'affiches arrachées, de graffitis et de textures colorées confèrent à l'œuvre une dimension organique et spontanée, évoquant les murs de la ville marqués par le temps et les interventions artistiques successives. On y retrouve aussi des fragments de mots et de phrases ("luck", "TIME", "for ever for ever"), ajoutant un caractère poétique et introspectif. Le travail de Lasveguix ici semble interroger la mémoire collective, la dégradation du temps et l’interaction entre l’art et l’espace urbain.

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Cette œuvre de Lasveguix s'inscrit pleinement dans l’univers du street art en rendant hommage à l’iconographie d’Invader. Les deux figures en pixel art, inspirées du célèbre jeu vidéo Space Invaders, émergent au centre de la composition, partiellement recouvertes par des strates de papier déchiré, de graffitis et de peinture.  L’accumulation de ces couches donne l’impression d’un mur urbain vivant, témoin du passage du temps et de l'interaction entre l’artiste et la ville. Des inscriptions comme "INVADER WAS HERE" renforcent cette référence directe au street artiste français connu pour disséminer ses mosaïques dans le monde entier. La palette de couleurs pastel, mêlant bleu, rose et beige, contraste avec l’aspect brut des déchirures et des éclaboussures de peinture, créant un équilibre entre chaos et harmonie. À travers cette œuvre, Lasveguix capture l’essence d’un art urbain en perpétuelle mutation, où chaque trace laissée par un artiste devient une nouvelle couche d’histoire.

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"Urban Little Girl" – Une œuvre audacieuse signée Lasveguix Plongez dans l’univers percutant de Lasveguix avec "Urban Little Girl", une œuvre où le street art rencontre l’histoire de la culture pop et de la contestation. Entre affiches déchirées, couleurs éclatantes et textures brutes, cette composition unique capte l’énergie vibrante de la rue. Au centre, une fillette en noir et blanc, pinceau levé, semble redéfinir son monde à travers l’art. Son geste innocent et rebelle à la fois contraste avec les icônes culturelles qui l’entourent, notamment l’influence du mouvement OBEY et l’esprit rock de Nirvana. Ce dialogue visuel entre révolte et poésie souligne un message puissant : l’expression artistique est une arme, une liberté et une voix intemporelle. Transformez votre intérieur avec cette œuvre engagée, symbole d’émotion brute et d’indépendance créative.

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Plongez dans l’univers unique de Lasveguix avec "The little artist", une œuvre vibrante mêlant collage urbain, street art et nostalgie cinématographique. Inspirée par l’affiche vintage de Charlie Chaplin, cette création dévoile un enfant en noir et blanc, pinceau à la main, comme un hommage aux esprits libres et créatifs. Les textures déchirées, les éclats de couleurs et les inscriptions manuscrites donnent à cette pièce une profondeur saisissante, témoignant du dialogue entre passé et modernité. L’inscription imposante "ART" souligne le message central : l’expression artistique est une rébellion, un héritage et un jeu d’enfant à la fois. Ajoutez une touche d’authenticité et d’émotion à votre intérieur avec cette œuvre de caractère.

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Plongez dans l’univers de Lasveguix avec Urban Notre-Dame, une œuvre puissante où le street art dialogue avec l’histoire. En mêlant une photographie en noir et blanc de la cathédrale à un collage urbain fait d’affiches déchirées, de graffitis et de textures brutes, l’artiste capture l’âme de Paris, entre grandeur et résilience. Cette interprétation contemporaine résonne d’autant plus aujourd’hui, alors que Notre-Dame poursuit sa renaissance après l’incendie qui l’a marquée. À travers cette fusion de chaos et d’harmonie, Urban Notre-Dame devient un hommage à la mémoire et à la reconstruction, incarnant à la fois la fragilité et la force d’un monument emblématique. Son esthétique percutante, où les couleurs et les matières s’entrelacent, fait de cette œuvre une pièce unique, idéale pour les passionnés d’art et de patrimoine. Elle invite à voir la beauté là où le temps et l’épreuve laissent leur empreinte, transformant un symbole en une expression artistique puissante et intemporelle.

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Plongez dans l’univers captivant de Lasveguix avec Urban Sacré-Cœur, une œuvre où le street art rencontre l’architecture iconique de Paris. Ce collage urbain, mêlant affiches déchirées, graffitis et photographie en noir et blanc de la basilique du Sacré-Cœur, capture l’essence vibrante de la capitale. Chaque détail raconte une histoire, entre modernité et patrimoine, chaos et harmonie. Cette œuvre incarne toute l’authenticité de l’art urbain, avec une intensité visuelle saisissante grâce à ses textures et ses contrastes. En revisitant un symbole emblématique de Paris avec audace, Urban Sacré-Cœur devient une pièce forte, idéale pour apporter une touche contemporaine et artistique à votre intérieur. Oeuvre unique, elle s’adresse aux amateurs d’art en quête d’une expression brute et vibrante du paysage urbain.

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Plongez dans l'univers fascinant de Lasveguix avec cette création de street art réalisée grâce à des techniques de collage mixte. Inspirée par l’affiche emblématique du film "Interstellar" de Christopher Nolan, cette œuvre met en scène un astronaute solitaire en noir et blanc, semblant émerger des profondeurs d’un monde déchiré et superposé. Autour de cette image centrale, des fragments de posters colorés, des typographies urbaines et des graffitis aux tons vifs — rouge, bleu, vert et noir — créent un effet de contraste saisissant. Les couches déchirées, juxtaposées avec soin, évoquent une atmosphère à la fois cinématographique et brute, fidèle à l’essence du street art. Les tags et textures ajoutent une dimension authentique et dynamique, tandis que l’ensemble de l’œuvre joue avec l’idée de temps et d’espace, à l’image du film qui l’inspire. Parfait pour les amateurs de science-fiction, de cinéma culte et d’art urbain, ce collage unique apportera une touche moderne et audacieuse à votre intérieur, en célébrant à la fois la culture pop et l’expression artistique contemporaine.

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Découvrez cette création singulière de Lasveguix, mêlant avec brio collage urbain et hommage culturel. Au cœur de la composition, une icône intemporelle du cinéma, Charlie Chaplin, surgit avec élégance sur un fond vibrant de jaune éclatant. Son regard malicieux et son célèbre costume ajoutent une touche rétro, tout en contrastant avec les affiches déchirées et superposées. Les multiples couches révèlent des fragments d'affiches de concerts, de typographies anciennes et de graffitis aux tons vifs — bleu, rouge, noir — créant un effet de profondeur riche et dynamique. L'intégration subtile de tags noirs renforce l'authenticité street art, offrant une œuvre brute mais raffinée, fidèle à l'esthétique urbaine. Cette pièce unique célèbre l’héritage du 7ᵉ art tout en s'ancrant résolument dans la modernité des rues. Parfaite pour les amateurs d'art urbain et de cinéma, elle apportera une touche artistique audacieuse et colorée à n'importe quel intérieur.

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Magnifique toile sur chassis réalisée par Lasveguix à l'aide d'affiche de récupération, de bombe aérosol, de peinture acrylique et de posca. Les affiches lacérées donnent du relief et de la matière à l'oeuvre et donnent l'impression de posséder un bout de mur. Lasveguix nous propose ici une réinterprétation du diptyque Marilyn, sérigraphie de l'artiste américain Andy Warhol, et rend également hommage au travail de l'artiste Invader !

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Magnifique œuvre réalisée à l'aide de matériaux de récupération (affiches déchirées, cartons), le tout rehaussé à l'aide de peinture aérosol, posca, bic et autocollants. Ici l'artiste Lasveguix réalise une magnifique, très détaillée, qui représente un pan de mur de Parisen reprenant beaucoup de références de la ville (Tour Eiffel, La Joconde de Leonard de Vinci, les marques de luxe ...)et qui s'intégrera très bien dans votre domicile.

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Magnifique œuvre réalisée à l'aide de matériaux de récupération (affiches déchirées, cartons), le tout rehaussé à l'aide de peinture aérosol, posca, bic et autocollants. Ici l'artiste Lasveguix réalise une magnifique, très détaillée, qui représente un pan de mur de Londres en reprenant beaucoup de références de la ville et qui s'intégrera très bien dans votre domicile.

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Magnifique œuvre réalisée à l'aide de matériaux de récupération (affiches déchirées, cartons), le tout rehaussé à l'aide de peinture aérosol, posca, bic et autocollants. Ici l'artiste Lasveguix réalise une magnifique, très détaillée, qui représente un pan de mur de New-York en reprenant beaucoup de références de la ville et qui s'intégrera très bien dans votre domicile.

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Magnifique œuvre réalisée à l'aide de matériaux de récupération (affiches déchirées, cartons), le tout rehaussé à l'aide de peinture aérosol, posca, bic et autocollants. Ici l'artiste Lasveguix donne une autre dimension à Goldorak, gigantesque machine de guerre extraterrestre en deux parties, très lourdement armée, que l'on a pu retrouver sous la forme d'un dessin animé à la fin des années 70.

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