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Lasveguix Marianne Obey Road Sign #2
Sur ce panneau de signalisation authentique, Lasveguix présente une nouvelle variation autour de l’esthétique urbaine qui fait sa signature. Au centre, une figure féminine inspirée de l’iconographie d’Obey apparaît à travers un collage dense de fragments d’affiches, de typographies éclatées et de couleurs vives. Le bleu profond du portrait contraste avec les strates de papier déchiré qui l’entourent, évoquant le caractère éphémère et vivant des murs de la ville. La texture réfléchissante du panneau, encore visible sous le collage, apporte un jeu de lumière subtil et renforce le contraste entre la rigidité du mobilier urbain et la liberté expressive du street art. Les bordures rouges du panneau encadrent la composition comme un rappel de son origine fonctionnelle, désormais détournée en support artistique. Les couches superposées de papier, parfois usées, parfois éclatantes, donnent à l’ensemble une profondeur presque sculpturale. On y perçoit l’accumulation du temps, les traces de passages, les récits visuels qui se chevauchent pour former un fragment de ville figé dans l’instant. Avec cette œuvre, Lasveguix brouille les frontières entre symbole, matière brute et esthétique urbaine. Il transforme un objet utilitaire en un support chargé de poésie visuelle, où l’icône renaît au cœur du chaos urbain, entre mémoire collective et réinvention artistique.
€500,00
Lasveguix Marianne Obey Road Sign #1
Sur ce véritable panneau de signalisation détourné, Lasveguix déploie l’une de ses signatures artistiques : un collage vibrant, saturé de fragments d’affiches, de typographies éclatées et de textures urbaines qui semblent arrachées aux murs de la ville. Au cœur de cette composition surgit la figure de Marianne, inspirée de l’esthétique d’Obey, symbole de liberté et d’engagement citoyen. La silhouette de Marianne apparaît comme une révélation au milieu d’un chaos visuel maîtrisé. Les couches déchirées, les couleurs vives et les superpositions de papier créent un effet de profondeur qui évoque l’érosion naturelle des murs urbains, où les affiches se succèdent, se recouvrent et finissent par raconter une histoire collective. Le fond réfléchissant du panneau, partiellement visible sous les interventions artistiques, introduit un contraste fort entre la rigidité du code routier et l’énergie libre du street art. Les éclaboussures de peinture rose, les graffitis et la signature de l’artiste renforcent l’impression d’un objet arraché à l’espace public puis transformé en œuvre unique. Avec cette pièce, Lasveguix joue sur les frontières : celles entre symbole républicain et culture pop, entre espace réglementé et expression personnelle, entre effacement et révélation. L’œuvre devient un fragment de ville, figé dans le temps, où Marianne renaît au cœur du chaos urbain.
€500,00
Lasveguix Chaplin Road Sign
Dans cette œuvre singulière, Lasveguix détourne un véritable panneau de signalisation pour en faire un support artistique chargé de sens et de contrastes. Au cœur du panneau, un collage fragmenté laisse apparaître une image iconique de Charlot, le personnage légendaire incarné par Charlie Chaplin, assis avec un petit chien. Cette figure emblématique du cinéma muet surgit à travers des strates d’affiches déchirées, de typographies partiellement lisibles et de motifs urbains qui se chevauchent. Le fond réfléchissant du panneau, encore visible par endroits, crée un dialogue saisissant entre l’univers réglementé de la signalisation routière et l’énergie brute du street art. Les bords noircis, les griffures, ainsi que les tags ajoutés par l'artiste renforcent l’impression d’un objet arraché à la rue pour être réinventé. La superposition de textures — papier arraché, traces de colle, usure naturelle et interventions picturales — confère à l’ensemble une dimension quasi archéologique. Comme un fragment du paysage urbain figé dans le temps, le panneau raconte l’histoire de la rue tout en rendant hommage à Chaplin, symbole intemporel d’humanité, de poésie et de mélancolie. En utilisant un support aussi codifié et chargé de fonction que le panneau de signalisation, Lasveguix brouille les frontières entre art, mobilier urbain et détournement poétique. L’œuvre devient alors un objet hybride, à la fois familier et subversif, où tradition iconique et chaos urbain se rencontrent pour former une pièce à l’esthétique puissante et mémorielle.
€500,00
Lasveguix Urban cow - La Vache qui rit
Cette œuvre de Lasveguix revisite avec audace l’iconique Vache qui Rit, figure familière de la culture populaire française, en l’inscrivant dans un univers urbain vibrant. Au centre de la composition, la célèbre vache rouge souriante apparaît en grand format, entourée d’affiches lacérées, de textures brutes, de fragments typographiques et de tags qui composent un mur vivant, typique du style street art de l’artiste. Le slogan « Vachement Bon » surgit dans la partie supérieure, tandis que le bas du visuel laisse apparaître, partiellement dissimulée sous les déchirures d’affiches, l'inscription « La Vache qui Rit ». Ce jeu de superpositions crée une tension visuelle entre le message publicitaire d’origine et son réinterprétation contemporaine. En mêlant nostalgie d’une icône publicitaire, énergie des rues et chaos poétique du collage, Lasveguix détourne un symbole du quotidien pour le transformer en objet d’art. L’œuvre joue sur les contrastes : entre propreté graphique et usure urbaine, entre image lisse et textures éclatées, entre mémoire collective et réappropriation artistique. Par cette composition dynamique et expressive, Lasveguix inscrit La Vache qui Rit au cœur de son univers : un espace où la pop culture, la rue et la création se rencontrent et se réinventent.
€290,00
Lasveguix Marianne Obey Urban Wall
Marianne Obey Urban Wall est une œuvre urbaine vibrante signée Lasveguix, mêlant collage, superposition d’affiches déchirées et iconographie emblématique. Au centre de la composition apparaît la figure de Marianne, inspirée du style graphique d'Obey, entourée de motifs floraux et positionnée sur un fond tricolore bleu-blanc-rouge. L’inscription républicaine “Liberté, Égalité, Fraternité” traverse verticalement l’œuvre, renforçant la portée symbolique de la pièce. Autour de cette figure centrale, Lasveguix construit un mur vivant, fait d’affiches arrachées, de tags, d’éclats de couleurs et de textures irrégulières. Les couches successives révèlent un dialogue entre ordre et chaos, entre message officiel et expression populaire. Les fragments de typographies, les traces de peinture et les symboles graphiques confèrent à l’ensemble une esthétique brute, énergique et résolument street art. En fusionnant une icône de l’identité française avec l’esthétique urbaine contemporaine, l’artiste crée une œuvre qui interroge l’espace public, la citoyenneté et la puissance visuelle des symboles. Marianne Obey Urban Wall affirme ainsi une identité forte : celle d’un mur qui parle, qui vit, et qui porte à la fois mémoire et modernité.
€1.400,00
Lasveguix LOST Invader
Cette œuvre de Lasveguix s’inscrit dans une esthétique urbaine brute, entre collage, détournement et graffiti. Le fond est constitué de couches successives d’affiches arrachées, de fragments typographiques et d’images publicitaires qui rappellent les murs saturés de la ville, porteurs de mémoires visuelles superposées. Au centre, un visuel en noir et blanc reprend l’iconographie du célèbre jeu vidéo Space Invaders, accompagné du mot « LOST », renforçant l’idée de disparition ou d’errance dans le chaos visuel urbain. Par-dessus, un graffiti en lettres noires épaisses et spontanées annonce « INVADER WAS HERE », clin d’œil direct à l’artiste de rue Invader et à sa pratique du marquage de territoire par ses mosaïques. Un halo bleu en arrière-plan souligne l’inscription, comme pour lui donner une aura particulière, tandis que les couleurs déchirées et les textures des affiches participent à l’effet de palimpseste. L’œuvre interroge la trace, la mémoire et l’éphémérité dans l’espace public : ce qui est collé, recouvert, griffé, puis à nouveau réapproprié. Elle met en tension la culture populaire (jeu vidéo, street art) et la décomposition poétique des murs de la ville.
€1.400,00
Lasveguix Urban Girl
Urban Girl est une ode à la féminité au cœur du chaos urbain. Le visage d’une jeune femme, avec une intensité presque photographique, émerge d’un tourbillon de couleurs, d’affiches déchirées et de textures arrachées. Les lambeaux de papiers, aux teintes vives de bleu, rose et or, se superposent comme les strates de mémoire de la ville, créant une tension entre fragilité et puissance. Le regard fermé et l’expression de la figure suggèrent un abandon, une respiration, comme si elle s’offrait un instant d’intimité dans le tumulte du monde extérieur. L’arrière-plan, marqué de graffitis et de mots griffonnés — “je t’aime” — inscrit cette présence féminine dans l’énergie brute de la rue, entre déclaration intime et cri public. Avec Urban Girl, Lasveguix capte la beauté fugitive qui se cache dans les murs écorchés et les ruines colorées de nos cités. L’œuvre devient ainsi un portrait à la fois poétique et sauvage, où la ville et l’intime se fondent en une même vibration.
€1.300,00