Les Peintures & Tableaux Pop Art

Dans cette œuvre, Lasveguix explore la technique du collage et de l’affiche déchirée pour revisiter une icône graphique bien connue : la Marianne popularisée par Shepard Fairey (Obey). Au centre, le visage stylisé et ornementé émerge à travers des strates d’affiches colorées, typographiques et manuscrites, créant un jeu de dévoilement progressif. La composition donne l’impression d’un fragment arraché à un mur urbain, comme une section de palimpseste visuel où les couches successives d’affichage racontent une histoire collective. En mêlant l’univers visuel d’Obey — symbole de résistance et de contre-culture — à son propre langage plastique, Lasveguix compose une pièce à la fois brute et poétique. Les déchirures, les superpositions et les textures font écho à la matérialité de la rue, où les images s’effritent et se réinventent au fil du temps. L’œuvre interroge ainsi la tension entre icône et appropriation contemporaine, entre mémoire commune et expression personnelle. Taille encadrée : 42 x 32 x 3 cm

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Cette œuvre de Lasveguix s’inscrit dans une esthétique urbaine brute, entre collage, détournement et graffiti. Le fond est constitué de couches successives d’affiches arrachées, de fragments typographiques et d’images publicitaires qui rappellent les murs saturés de la ville, porteurs de mémoires visuelles superposées. Au centre, un visuel en noir et blanc reprend l’iconographie du célèbre jeu vidéo Space Invaders, accompagné du mot « LOST », renforçant l’idée de disparition ou d’errance dans le chaos visuel urbain. Par-dessus, un graffiti en lettres noires épaisses et spontanées annonce « INVADER WAS HERE », clin d’œil direct à l’artiste de rue Invader et à sa pratique du marquage de territoire par ses mosaïques. Un halo bleu en arrière-plan souligne l’inscription, comme pour lui donner une aura particulière, tandis que les couleurs déchirées et les textures des affiches participent à l’effet de palimpseste. L’œuvre interroge la trace, la mémoire et l’éphémérité dans l’espace public : ce qui est collé, recouvert, griffé, puis à nouveau réapproprié. Elle met en tension la culture populaire (jeu vidéo, street art) et la décomposition poétique des murs de la ville.

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Cette œuvre naît de la rencontre de deux univers complémentaires.En arrière-plan, Lasveguix compose une fresque urbaine vibrante : affiches déchirées, fragments de typographies, héros de la pop culture et matières arrachées forment une mosaïque brute, comme les murs d’une ville saturés de mémoire collective et d’imaginaires populaires. Parmi ces strates, on devine la figure mythique de Goldorak, icône intergénérationnelle, surgissant tel un totem héroïque au milieu du chaos. Sur la vitre qui protège le collage, Wawapod intervient avec son langage visuel caractéristique : une grille de points colorés, quasi pixelisée, qui agit comme un filtre optique et une relecture contemporaine. Ce voile graphique transforme la perception de l’œuvre, la brouille et la révèle à la fois, en rappelant aussi bien les codes du numérique que ceux de la sérigraphie. En combinant leurs gestes, les deux artistes offrent une double lecture : la mémoire nostalgique et urbaine de Lasveguix dialogue avec l’abstraction pop et rythmée de Wawapod. L’ensemble devient une œuvre hybride, à la fois hommage à l’enfance et exploration esthétique du regard contemporain.

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Urban Girl est une ode à la féminité au cœur du chaos urbain. Le visage d’une jeune femme, avec une intensité presque photographique, émerge d’un tourbillon de couleurs, d’affiches déchirées et de textures arrachées. Les lambeaux de papiers, aux teintes vives de bleu, rose et or, se superposent comme les strates de mémoire de la ville, créant une tension entre fragilité et puissance. Le regard fermé et l’expression de la figure suggèrent un abandon, une respiration, comme si elle s’offrait un instant d’intimité dans le tumulte du monde extérieur. L’arrière-plan, marqué de graffitis et de mots griffonnés — “je t’aime” — inscrit cette présence féminine dans l’énergie brute de la rue, entre déclaration intime et cri public. Avec Urban Girl, Lasveguix capte la beauté fugitive qui se cache dans les murs écorchés et les ruines colorées de nos cités. L’œuvre devient ainsi un portrait à la fois poétique et sauvage, où la ville et l’intime se fondent en une même vibration.

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Dans "Amour Sauvage", Lasveguix fusionne l’instinct brut de la nature avec l’énergie urbaine du street art contemporain. Cette œuvre foisonnante juxtapose l’image majestueuse et hyperréaliste d’un lion, symbole de force et de fierté, à un collage chaotique de publicités, de graffitis et d’affiches vintage lacérées, témoins d’une mémoire collective urbaine. Le mot "OUI", peint en rose vif au centre de la toile, tranche avec la sauvagerie du félin et évoque un élan d’acceptation, d’espoir ou de passion brute. On y devine aussi une femme illustrée, façon pop art, qui semble regarder le spectateur avec intensité — un rappel à la fois nostalgique et puissant de la figure féminine dans l'imaginaire populaire. Lasveguix explore ici la dualité entre l’amour et l’instinct, le civilisé et le sauvage, le passé et le présent. Les couches de peinture éclaboussées, les typographies superposées et les éléments déchirés donnent à l'œuvre un rythme presque musical, entre tension et harmonie. "Amour Sauvage" est une déclaration visuelle où la tendresse côtoie la puissance, et où l’art de rue devient le langage d’émotions primaires, exprimées avec une intensité saisissante.

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Dans Mickey Wall Fragment, Lasveguix revisite l'icône intemporelle de la pop culture avec son style urbain explosif. Sur un fragment de mur reconstitué, l'artiste met en scène un Mickey Mouse joyeux, entouré d’éclaboussures de peinture vive et de motifs graffiti.Les mots "LOVE" apparaissent en filigrane, insufflant une touche de douceur au chaos coloré qui entoure le personnage.À travers ce collage vibrant, Lasveguix célèbre l'enfance, l'amour et l'énergie brute du street art, tout en rendant hommage à l’univers du cartoon et à son pouvoir universel. Taille encadrée : 42 x 32 x 3 cm

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Cette œuvre de Léa Poncharal, livrée dans une caisse américaine blanche, joue sur la transparence, la lumière et le contraste entre la douceur et la force des symboles qu’elle met en scène. La pièce représente un Bearbrick, silhouette iconique du design contemporain, découpée dans un plexiglas. Des papillons aux ailes finement ciselées viennent habiller sa surface, créant une impression de légèreté et de mouvement. L’éclat du matériau et les jeux de reflets accentuent la sensation d’apesanteur, tandis que le fond texturé en blanc renforce la profondeur et l’impact visuel de l’œuvre. Entre art pop et minimalisme, cette création explore la dualité entre l’univers enfantin et l’élégance de la nature, fusionnant l’esthétique du jouet et la poésie du vivant.

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Ajoutez une pièce d'art urbain unique et chargée de sens à votre collection avec cette œuvre exceptionnelle signée Lasveguix, inspirée du style graphique percutant d'Obey. Intitulée "Make Art Not War White", cette version en blanc symbolise la pureté de la création artistique face au chaos du monde contemporain, tout en conservant un message engagé en faveur de la paix et de la liberté d'expression. La pièce se distingue par ses affiches déchirées et ses superpositions de textures, accompagnées d'éclaboussures de peinture dans des tons vifs qui rappellent l'énergie brute du street art. Au centre, on retrouve Marianne, figure emblématique de la République française, ici entourée de fleurs bleues symbolisant espoir et renaissance. Son regard déterminé incarne la résistance et le pouvoir de l’art pour provoquer le changement. L’originalité de l’œuvre réside également dans son cadre peint à la main, qui fait partie intégrante de la composition. Chaque éclat de peinture, chaque inscription, et chaque couche de collage apportent une dimension vivante et texturée, transformant l'œuvre en une véritable déclaration artistique. Cette œuvre invite à la réflexion tout en apportant une esthétique urbaine chic et contemporaine à votre intérieur. Les couleurs blanches, bleues et éclats multicolores se marient parfaitement avec tout type de décoration, ajoutant une touche audacieuse et sophistiquée à vos espaces de vie ou de travail.

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Découvrez cette œuvre unique de Lasveguix, un vibrant hommage à l’univers graphique d’Obey, emblématique du mouvement street art. Intitulée "Make Art Not War Pink", cette version rose apporte une touche féminine et engagée, tout en conservant la puissance du message militant qui fait la renommée d’Obey. La pièce se distingue par ses affiches lacérées et superposées, mêlées à des éclaboussures de peinture vives qui accentuent l’effet brut et spontané du collage urbain. Le visage iconique de Marianne, symbole intemporel de liberté et de révolution, occupe le centre de la composition, entourée d'un cadre peint à la main, faisant intégralement partie de l’œuvre. Ce cadre original renforce le caractère artistique de la pièce et sublime les détails chaotiques et texturés du collage. Chaque élément de l'œuvre raconte une histoire : les déchirures, les couches de peinture, et les inscriptions ajoutent une profondeur visuelle captivante, rendant chaque regard différent. La palette de tons roses, blancs et éclats multicolores évoque un mélange de douceur et d’intensité, apportant une énergie unique à votre espace. Cette pièce est bien plus qu'une simple œuvre murale : elle est un véritable manifeste artistique, porteur d’un message intemporel en faveur de la création et de la paix. Parfait pour les collectionneurs, les amateurs de street art, ou ceux qui souhaitent insuffler une touche rebelle et chic à leur intérieur.

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Lasveguix a créé une œuvre remarquable en utilisant des affiches récupérées. Les affiches déchirées ajoutent une dimension de relief et de texture à l'ensemble. Dans cette création, Lasveguix nous offre une réinterprétation du célèbre diptyque Marilyn, une sérigraphie réalisée par l'artiste américain Andy Warhol en 1962. En transformant des matériaux ordinaires en une œuvre d'art, Lasveguix donne une nouvelle vie à ces affiches tout en rendant hommage au travail emblématique de Warhol.

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Magnifique œuvre réalisée par Lasveguix à l'aide d'affiche de récupération. Les affiches lacérées donnent du relief et de la matière à l'oeuvre. Lasveguix nous propose ici une réinterprétation du diptyque Marilyn, sérigraphie de l'artiste américain Andy Warhol, réalisée en 1962

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Mêlant plusieurs techniques : acrylique sur toile, sur papier, lithographie et collages, cette œuvre est un assemblage des supers héros Marvel et DC Comics de différentes époques et différentes représentations (films, bandes dessinées, crayonnés...) . Dans cette œuvre, Elmago reprend notamment Thor, Superman, Hulk, Spiderman, Batman et bien d'autres héros à découvrir. 

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Magnifique œuvre de Jonathan Antony prêtre à être accrochée. L'artiste nous propose ici une très belle composition de type abstraction géométrique à l'aide de couleurs très actuelles et des lignes extrêmement nettes. Cette oeuvre est livrée encadrée dans une caisse solide en bois.

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Magnifique œuvre de Jonathan Antony prêtre à être accrochée. L'artiste nous propose ici une très belle composition de type abstraction géométrique à l'aide de couleurs captivantes et des lignes extrêmement nettes. Cette oeuvre est livrée encadrée dans une caisse solide en bois.

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